Rechercher
Rechercher

Ouattara Watts

Côte d’Ivoire, États-Unis

▪︎ Expositions Dapper

▪︎ Bibliographie dapper

▪︎ Suivre l'activité

▪︎ À propos

Ouattara Watts, né en Côte d’Ivoire en 1957, vit et travaille à New York. Il a étudié à l’École de Beaux-Arts de Paris et a rencontré Jean-Michel Basquiat en 1988, avec lequel il a collaboré. Les peintures de Ouattara Watts sont exposées dans le monde entier (Biennale de Venise en 2012, Biennale de Dakar en 2016, Documenta 11 en 2002) ou encore pour l’exposition Afriques Capitales à Paris en 2017.

The Woman of Magic Power
La composition travaillée sans effet de perspective mêle des figures humaines stylisées, des formes géométriques, des idéogrammes, comme autant de signes d’un univers foisonnant de symboles.

La « Femme au pouvoir magique » est identifiable par sa longue silhouette derrière laquelle le fond bleu est traversé par des lignes droites terminées comme des lances. Ce personnage qui porte un collier volumineux, peut-être une parure de protection, semble surgir d’un autre monde. Encore plus mystérieuse, la créature mi-homme mi-bête, transformée ainsi après on ne sait quel rituel, défie tous les repères.

Ouattara Watts

Côte d’Ivoire, États-Unis

▪︎ Expositions Dapper

▪︎ Bibliographie dapper

▪︎ Suivre l'activité

▪︎ À propos

Ouattara Watts, né en Côte d’Ivoire en 1957, vit et travaille à New York. Il a étudié à l’École de Beaux-Arts de Paris et a rencontré Jean-Michel Basquiat en 1988, avec lequel il a collaboré. Les peintures de Ouattara Watts sont exposées dans le monde entier (Biennale de Venise en 2012, Biennale de Dakar en 2016, Documenta 11 en 2002) ou encore pour l’exposition Afriques Capitales à Paris en 2017.

The Woman of Magic Power
La composition travaillée sans effet de perspective mêle des figures humaines stylisées, des formes géométriques, des idéogrammes, comme autant de signes d’un univers foisonnant de symboles.

La « Femme au pouvoir magique » est identifiable par sa longue silhouette derrière laquelle le fond bleu est traversé par des lignes droites terminées comme des lances. Ce personnage qui porte un collier volumineux, peut-être une parure de protection, semble surgir d’un autre monde. Encore plus mystérieuse, la créature mi-homme mi-bête, transformée ainsi après on ne sait quel rituel, défie tous les repères.

En images

L'artiste avec la Fondation Dapper