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Atelier d’écriture créative à Douala

Le 01/02/2011

Atelier d’écriture créative à Douala

Le 01/02/2011

En février 2011, la romancière Léonora Miano s’est rendue à Douala, au Cameroun, pour animer son premier atelier d’écriture en Afrique, avec le soutien de la Fondation Dapper.

Cet atelier, intitulé du New Negro à l’Africain Nouveau, avait un objectif double :

  • mettre les jeunes Camerounais en contact avec des notions ou des sujets qui leur étaient familiers, puisqu’ils font partie du patrimoine intellectuel et culturel des peuples d’ascendance subsaharienne
  • recueillir la parole des participants sur les grands thèmes proposés : l’altérité, la diaspora, la perception de soi, le futur de l’Afrique, etc.

L’auteur a donc travaillé, au sein des locaux du Collège Bénédicte de Douala, avec un groupe d’adolescents inscrits en classe de 2nd dans les établissements suivants, tous situés à Douala : Lycée de Nylon Brazzaville, Collège évangélique de New-Bell, Collège Bénédicte, Lycée de la Cité des palmiers, Collège Libermann.

Le Musée Dapper, fidèle à son engagement d’intervenir sur le continent africain, a naturellement soutenu l’action de Léonora Miano.

Léonora Miano née en 1973 à Douala au Cameroun, réside en France depuis 1991. L’écriture constitue pour elle « une chose qui lui est arrivée sans qu’elle puisse l’empêcher […]. On écrit en raison d’une certaine tournure d’esprit et parce qu’on y est poussé ». Quelques-une de ses œuvres : L’Intérieur de la nuit(2005), Contours du jour qui vient (2006), Les Aubes écarlates (2009), les romans Tels des astres éteints (2008) Blues pour Élise (2010), La Saison de l’ombre (2013), L’impératif transgressif (2016) et Marianne et le garçon noir (2017).

En février 2011, la romancière Léonora Miano s’est rendue à Douala, au Cameroun, pour animer son premier atelier d’écriture en Afrique, avec le soutien de la Fondation Dapper.

Cet atelier, intitulé du New Negro à l’Africain Nouveau, avait un objectif double :

  • mettre les jeunes Camerounais en contact avec des notions ou des sujets qui leur étaient familiers, puisqu’ils font partie du patrimoine intellectuel et culturel des peuples d’ascendance subsaharienne
  • recueillir la parole des participants sur les grands thèmes proposés : l’altérité, la diaspora, la perception de soi, le futur de l’Afrique, etc.

L’auteur a donc travaillé, au sein des locaux du Collège Bénédicte de Douala, avec un groupe d’adolescents inscrits en classe de 2nd dans les établissements suivants, tous situés à Douala : Lycée de Nylon Brazzaville, Collège évangélique de New-Bell, Collège Bénédicte, Lycée de la Cité des palmiers, Collège Libermann.

Le Musée Dapper, fidèle à son engagement d’intervenir sur le continent africain, a naturellement soutenu l’action de Léonora Miano.

Léonora Miano née en 1973 à Douala au Cameroun, réside en France depuis 1991. L’écriture constitue pour elle « une chose qui lui est arrivée sans qu’elle puisse l’empêcher […]. On écrit en raison d’une certaine tournure d’esprit et parce qu’on y est poussé ». Quelques-une de ses œuvres : L’Intérieur de la nuit(2005), Contours du jour qui vient (2006), Les Aubes écarlates (2009), les romans Tels des astres éteints (2008) Blues pour Élise (2010), La Saison de l’ombre (2013), L’impératif transgressif (2016) et Marianne et le garçon noir (2017).